Un beau jour d’octobre 2002, un citoyen de
Bagnolet excédé de ne pouvoir recevoir de nombreuses stations de la bande FM, dont les radios de service public, à Bagnolet, mais aussi aux Lilas (93), dans le XXè à Paris, à Montreuil,
Romainville, etc., se mobilise pour écouter sa radio librement…< s a n s . r a d i o @ l a p o s t e . n e t >
L’association des Sans Radio de l’Est parisien (sans.radio@la poste.net), a mené une lutte de longue haleine, entre autres, en obtenant la remise en août 2008 du rapport de l’expert judiciaire à la Cour d’Appel de Paris (lire ici 
Rapport d'expertise version 2 ). Cet expert donne totalement raison à l’association : ainsi, d’après lui, « les mesures subjectives, effectuées par le CSA, montrent que les auditeurs dans la zone de 1,8 km environ autour des Mercuriales sont susceptibles de ne pas recevoir dans de bonnes conditions plus du tiers des 48 radios parisiennes. »
De même : « L'ensemble des émetteurs de Towercast et de TDF sur les Mercuriales sont à l'origine des désordres constatés dans la zone perturbée ». Enfin, « l'arrêt des émissions depuis les Mercuriales supprimerait les problèmes de réception dans la zone perturbée ».
Fin janvier 2009, la Cour de Cassation a rejeté le pourvoi engagé par TDF et condamné l’opérateur à verser une nouvelle fois des indemnités à l’association des Sans Radio de l’Est parisien.
Aujourd’hui (octobre 2016), l’association a obtenu la mise en ondes (hertziennes) des sept stations de Radio France par l'opérateur qui perturbait la zone. Elle a gagné son combat et obtenu gain de cause, avec la suppression du dommage que subissent les riverains, grâce à cet émetteur en RNT.
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